Fraternité

LA FRATERNITÉ est sacrée  1/2

 

1 – Introduction

2 – Fraternité

3 – sacrée

4 – conclusion

 

1- Introduction:

« Et l’œil était dans la tombe et regardait Caïn… »images

La fraternité originelle, celle dont nous sommes issus débute par un fratricide.

Sans s’engager dans une exégèse, il semble que le motif de Caïn réside moins sur un pouvoir ou des biens perdus que sur des pertes subjectives et immatérielles. Il est écrit que Dieu témoigne de son agrément pour les biens offerts par Abel, et refuse ceux offerts par Caïn. Alors ?

Caïn est assuré que Dieu exprime ainsi une préférence et accorde une plus grande importance à Abel. Il se sent humilié, diminué dans son importance et son amour propre. Il ne peut le supporter et tue Abel. C’est ainsi que la genèse présente les principales pulsions destructrices qui condamnent la fraternité: il s’agit de la place de l’égo, de l’importance personnelle, du pouvoir sur l’autre, des possessions ; mais plus encore de la jalousie et du risque de perte d’amour.

Cependant, l’œil qui regarde Caïn le juge et lui rappelle le devoir sacré de fraternité.

 

2- La fraternité…

Ce travail est une tentative de synthèse de quelques milliers de pages et de dizaines d’heures de quête d’informations. Je n’en tire aucune vérité absolue, bien que j’aie pu étayer et renforcer des convictions qui étaient acquises depuis longtemps. J’aborde successivement les deux termes : fraternité, puis : sacré. Il ne me paraît pas essentiel de réaliser une présentation étymologique des termes. Je préfère simplement évoquer des mots qui s’y rattachent ; pour fraternité : fraternel, fratries, fraterniser, fratricide, confraternité, confraternel, confrérie. Il convient d’en rapprocher parmi d’autres, liberté et égalité, solidarité, compassion… J’y ajoute que la distinction entre sentiment fraternel et devoir fraternel est souvent pertinente, et peut-être nécessaire. L’histoire montre que des fraternités se sont donné vocations de meurtre et destructions : Les frères de la côte, qui étaient des naufrageurs; les frères d’armes quelquefois, les frères musulmans … Et après Caïn et Abel, ROMUS et RÉMULUS reproduisent le fratricide.

Ensuite apparaîtront les règles du fonctionnement tribal, des armées, des diverses camaraderies, confréries, compagnies et compagnonnage…

Cependant les premières mutuelles sociales seront crées par les Compagnons Du Devoir Du Tour De France.

Avant la valeur  »fraternité » il semble que des hommes intelligents, lucides et courageux aient proposés en 1795 les droits à la liberté et à l’égalité, bien que sur les murs de Paris a été peint, en 1793 : liberté égalité, fraternité ou la mort ! (sur instruction de PACHE, maire de paris).

Cependant la fraternité ne sera proposée en troisième devoir qu’en 1848, et ne paraîtra sur nos frontons qu’en 1880. Quant à l’inscription constitutionnelle durable, elle ne sera réalisée qu’en 1946 et renouvelée en 1958.

Malgré le génie de ces hommes, l’établissement de ces valeurs premières a connu et connaît encore des difficultés, des drames, des oppositions passionnelles et des guerres payées par le sacrifice d’innombrables vies. Nos ainés avait sans doute compris que l’histoire entière de l’humanité était établie sur des pulsions de domination et possession, et leurs propositions étaient de remplacer ces bases par la liberté, l’égalité et la fraternité. Ils ont proposé ces valeurs comme s’il s’agissait d’ouvrir trois portes, présentées de face et simultanément. L’histoire et surtout l’actualité montrent que l’ouverture à la liberté maintient fermée la porte de l’égalité, et, nous l’avons vu, qu’il en est de même pour l’ouverture de la porte fraternité.

L’analyse des relations humaines dont il va être question montre que ces portes sont successives et qu’elles ne peuvent s’ouvrir simultanément. La première, qui ouvre sur les autres, est la porte de l’égalité. Et c’est un immense défi qui est proposé : celui de l’abandon du pouvoir personnel sur d’autres. De plus il convient de définir une égalité qui protège et stimule les différences, et garde valides les responsabilités, les hiérarchies et les fonctions ; et encore qui permette les ambitions individuelles et collectives légitimes.

Ceci suggère l’adoption et la pratique d’une première valeur : ‘’Tout être humain a une égale valeur et importance potentielles par rapport à tout autre humain’’. Alors doit s’ouvrir en premier la porte de l’égalité. Dans une pratique correcte, elle ouvre la fraternité, seconde porte qui conduit ensuite au développement d’échanges et de partages qui multiplient les choix possibles et ouvre en troisième porte la liberté de part et d’autre.

L’expérience de la transmission et des pratiques fidèles à cet ordre a montré que les personnes aspirent ensuite de façon naturelle et spontanée à l’élévation, selon la valeur des Compagnons :

  • s’élever soi-même pour élever l’autre,
  • élever l’autre pour s’élever soi-même.

Ainsi est suggérée cette évolution :

Égalité —>Fraternité —->Liberté —->Élévation
—————————————————————–

Il est possible de suggérer aussi une hiérarchie des qualités relationnelles :

De l’indifférence-ignorance au respect mutuel, puis sympathie, puis considération, puis estime, puis fraternité, puis amitié, puis état amoureux, puis état d’amour spirituel.

Cette démarche a été éprouvée par plusieurs milliers de personnes. Sa validité est vérifiée. J’en présente quelques bases fondamentales pour un avenir en fraternité : Nous existons simultanément dans 3 réalités, avec trois intelligences :

- celle de la tête qui gère les connaissances, la rationalité, la réflexion, l’objectivité, le pouvoir,

- celle du cœur qui gère les émotions, la sensibilité, les sentiments,

- celle du corps qui gère le monde physique et les avoirs.

Ce sont les interactions internes de ces trois instances qui déterminent bien-être ou mal-être et par voie de conséquence l’accès aux comportements fraternels ou pas. Ils se caractérisent par une haute compétence d’écoute, d’expression, et de résolution des oppositions.

Sur ces bases, une mutation consciente et délibérée des comportements devient une nécessité vitale pour toute l’humanité :

Il s’agit de remplacer les comportements et pulsions de domination et possession par un comportement de coévolution dans la coresponsabilité, parce que des rapports de force tuent la fraternité, et compromettent l’avenir de la vie elle-même.

Ces comportements sont suggérés dans les relations avec soi-même, avec les autres, et avec l’environnement.

Cela signifie Être plutôt que paraître posséder-dominer – pratiquer le don de S.O.I.* qui enrichit l’Être-, plutôt que vouloir, prendre, obtenir, qui enrichit le M.O.I.*. La fonction d’être non seulement est privilégiée, mais surtout, dans un rapport d’altérité fondatrice, elle restitue le sens, le devenir et l’espérance, dans la pratique d’une authentique fraternité.

En abréviations suggérées,

*le M.O.I. Signifie : Modèle Obligé Individuel, avide de se satisfaire lui-même,

*le S.O.I. Signifie : Singularité Oblative Impersonnelle, avide de servir le Créateur, l’Être ultime.

Du point de vue comportemental, ce sont les sentiments de peur, de colère et de tristesse qui conduisent à des comportements destructeurs et  »hors plan », et ils émergent à partir de l’état nature et originel d’amour quand il est blessé. Ainsi se révèle l’Etre véritable dans son essence : l’état d’amour. Le formateur a donc pour fonction de faire grandir – non pas vers lui-même et dans son chemin – mais d’accompagner et soutenir l’autre dans son propre cheminement vers lui-même, son Etre ultime.

 »Ce que je fais de bien à l’autre dans son rapport avec lui-même, élève et grandit mon être comme ce que je fais de mal à l’être de l’autre, dans son rapport avec lui-même réduit et avilit mon être. »

Chacun peut se découvrir ainsi vecteur et acteur lucide d’une loi morale et d’un principe créateur intelligent. La fonction d’être d’un être, c’est d’être, et plus, c’est être en devenir vers le meilleur de lui-même. La quête de l’ultime de l’être conduit à l’Etre ultime.

Il y faut des conditions qui sont pierres ou rochers sur le chemin : exercer la force du doute et éviter la faiblesse de la certitude.

En synthèse, il apparaît que la fraternité est sacrée parce qu’elle est peut-être le seul recours pour la sauvegarde de l’humanité.

Ceci conclut cette première partie qui a traité principalement de la fraternité. La seconde est une tentative pour traiter le Sacré…

(Deuxième partie le 21/2/2012)

main FS2 Madame, Monsieur,

Le premier article, « mutatis-mutandis » était une vision globale destinée à présenter l’hypothèse d’un changement nécessaire pour assurer un devenir et une espérance dans les évolutions en cours.

Le suivant « La fraternité 1 » et sa suite ci-dessous montrent que c’est dans l’amélioration des interactions avec soi-même, avec les autres, et avec l’environnement, que peut se concrétiser un progrès dans le bien-être individuel et collectif.

3/…sacrée (et 4 : conclusion)

« Je suis celui qui est. »

A partir de cette affirmation divine, se propose une discipline philosophique dénommée ontologie - la science de l’Etre -. Bien qu’abordée comme  »science de toutes les sciences », c’est une quête avortée des premiers philosophes grecs. D’ailleurs,  »l’Encyclopédia Universalis » la considère comme l’unique science qui reste vide.

Il apparaît que la quête de l’Être contient la quête de la vérité et de la réalité absolues.

Dans l’histoire de l’humanité trois grands courants s’y sont risqués : les sciences, la philosophie, les religions. Aucun n’a abouti. A ce jour, aucune vérité ni réalité absolues n’ont pu être établies.

Cependant, pour étudier l’hypothèse du sacré attachée à fraternité, il convient de le chercher et le définir. Il se rapporte à : sacral, sacralisation, sacrement, sacrifice, sacre, sacrum, sacrilège, sacramentel, sacramental… En raccourci, il apparaît qu’il réfère à deux critères principaux : le sacrifice et le divin. Même si une foi sincère peut exister, personne n’a jamais vu Dieu. Je me propose néanmoins de poursuivre cette quête du divin et du réel par les sciences, les philosophies et les spiritualités. Il ne s’agit pas de faire étalage de connaissances, mais de présenter quelques principales informations pour servir notre propos.

arche de la fraternité dite « grande arche de la défense »:

Arche de la Défense

Notre ADN établi sur 4 bases (adénine, thymine, guanine, cytosine) constitue un langage qui transmet des informations par le codage de 64 unités (4, base du tétragramme – puissance 3). Cependant, même si le génome a été cartographié en entier, la plus grande part est non décodée, et contient d’immenses continents inconnus. Pourtant la génétique et la biologie moléculaire propose désormais la possibilité pour l’humain d’être créateur et modificateur de sa propre nature, et ainsi de s’approprier un attribut divin. Relativement à ce pouvoir-toute puissance, la question est déjà posée de son usage, autant pour la potentialité d’évolution, que pour la potentialité de sacrifice total de l’humanité. Curieusement, un des plus anciens livres de l’humanité, le Yi King, aussi appelé  »livre des transformations », propose de définir tous les possibles à partir de 64  »hexagrammes » .

Au point de vue de notre cerveau, avec 100 milliards de neurones et une capacité de dix mille connexions par neurone, il dispose d’un potentiel de cent mille milliards d’interactions possibles. (Dieu est esprit, et ceux qui l’adorent doivent l’adorer en esprit et en vérité; jean ch. 4 V 24)

Des études de plus en plus précises montrent une plasticité de fonctionnement inattendue. Il s’y ajoute une capacité de reproduction des neurones, et même l’utilisation possible de cellules plurivalentes. Ces découvertes ouvrent à des hypothèses de formatage, reformatage et fonctionnalités auparavant inconnues.

Relatives au fonctionnement du cerveau, les E.M.I. doivent être évoquées. Il s’agit des expériences de  »mort imminente » avec arrêt cardiaque, électro-encéphalogramme plat et retour à la vie. Les témoignages recueillis montrent des concordances, similitudes et identité plus que troublantes ; les études les plus récentes tendent à prouver l’existence de l’esprit (l’âme ?) indépendamment du cerveau. Les points communs de ces expériences expriment le passage par un tunnel aboutissant à une lumière indescriptible, océan d’amour duquel on ne veut pas revenir et pour la plupart, sortie du corps prouvée par des témoignages restitués sur des contingences externes, quelquefois très éloignées. Les millions de personnes concernées expriment leur transformation, en particulier dans leur rapport à la vie et à la mort, et assurent que le langage n’est pas en mesure de restituer la grandeur et la nature de ces expériences.

Dans une autre approche, celle de l’anthropologie, ce sont des pertes successives de fonctions, remplacées par des fonctions plus évoluées qui ont déterminé notre évolution. Par exemple, la perte de la marche quadrupède et de la préemption par la mâchoire contre préemption par la main, développement du cerveau et apparition du langage. Depuis, ce sont principalement les connaissances intellectuelles au service de la production (tête) qui se sont développées, ainsi que les besoins de consommation (corps). Cependant, les technologies récentes impliquent de moins en moins le besoin de mémoriser. Si cette fonction se réduit, il n’existe pour l’instant aucune hypothèse sur une fonction plus élevée à naître.

A moins de supposer l’émergence et la mise en œuvre d’une nouvelle fonction qui établirait une conscience planétaire et cosmique par l’activation au niveau du cerveau d’une matrice inactive jusqu’ici : la fraternité sacrée universelle. (Cœur ?)

Il y a 80 ans environ, Teilhard de Chardin engageait cette perspective dans son concept de  »noosphère » mais également il y a bien longtemps, Platon, et plus proches, Kant, Hegel, l’avaient suggérée ; et aussi Leibnitz dans son concept de  »monades » et Robert SHELDRAKE dans sa théorie des  »champs morphiques » et Gandhi, et les traditions orientales dans le taoïsme et les concepts de  »Ki » et de  »mana ».

A la fin des années 90, un symposium avait réuni les scientifiques de plus de mille disciplines différentes, en Australie. Une des questions abordées était : qu’est-ce qui peut être commun à toutes nos disciplines ?

La réponse suggérée a été qu’à la base de tout ce qui existe, il y a un principe séparateur et un principe unificateur en constante interaction dynamique et dont la résultante globale est EVOLUTION. Ceci semble confirmé par une expression d’Albert Jacquard : « à l’échelle de l’univers, il n’existe que la rencontre ou rien ». En lien avec ce qui précède, Edgar Morin a proposé dans son travail dénommé  »la méthode » plusieurs ouvrages qui ont alimenté  »l’approche systémique ». Elle comporte, parmi d’autres, quelques postulats :

- un système est caractérisé par l’existence d’interactions,

- tout est système, sur-système et sous-système,

- la qualité et la quantité d’interactions internes d’un système déterminent la qualité et la quantité de ses interactions externes,

- la fonction première d’un système est de survivre et évoluer,

- il y a interdépendance globale des systèmes.

Pour les puristes, j’ajoute que les mathématiques de Gödel démontrent qu’il ne peut y avoir de reproductions parfaitement identiques des interactions. Par conséquent, l’existence d’un système absolument stable est exclue. Nous sommes dans l’impermanence autant que dans l’incertitude. Le  »yi-King » l’affirme : « l’immuable, c’est la transformation ».

Afin de simplifier (!!??), il convient maintenant d’aborder l’astrophysique et la physique quantique :

- 96% de l’univers est inconnu,

- pour 70 % il s’agit d’une énergie, et 26 % de matière, dites  »noires » l’une et l’autre.

La physique quantique, à la recherche de la matière, n’a découvert que des fonctions d’ondes, immatérielles, avec des attributs et capacités inattendues :

- La non-séparabilité ; deux électrons d’un même atome séparés et projetés aux deux extrémités de l’univers restent liés en identités et phénomènes. Ce qui se passe pour l’un, se produit pour l’autre, instantanément.

- Il en résulte une suppression de la temporalité, de la distance, de la localisation, et une transgression de la vitesse de la lumière.

- Cette approche réduit le réel à un résultat probabiliste de possibilités infinies, qui, par effondrement des possibilités, sauf une, permet l’émergence du monde macro physique auquel nous avons accès par nos sens ordinaires.

- la physique quantique a aussi et surtout démontré que l’observateur est toujours CO-créateur de son observation.

- Et par conséquent, que les anciens paradigmes : « la nature m’est extérieure, l’autre m’est extérieur, l’univers m’est extérieur et Dieu m’est extérieur », sont complètement erronés.

- ’’ le royaume ne saurait être épié. Il est impossible de dire : il est ici, ou il est là. Car le royaume est au-dedans de vous’’ (Luc Ch. 17 V 20-21).

En tentative de synthèse, il est possible d’affirmer qu’il existe un monde matériel, manifeste et déterminé, et un monde immatériel, virtuel et infini de libres potentialités. Les attributs et fonctions de la physique quantique :

- non-séparabilité, non –localisation, ubiquité du tout et des parties (nul n’est perdu, chacun est au centre du cercle), non-temps, non-distances et infini de libres potentialités, ajoutés aux points précédents sur les sciences de la vie présentent une somme d’indices congruents et convergents pour croire à un principe créateur, et CO-créateur intelligent.

Il aurait été pertinent d’ajouter aux synthèses précédentes le principe holographique et les théories et applications des nanotechnologies.

Comme ces sciences et techniques vont dans le même sens, il paraît possible de conclure sur le sacré.

4 – conclusion :

Depuis des siècles opposées les unes aux autres il advient que spiritualités et sciences se conjuguent harmonieusement ; plus encore, il apparaît que les sciences expérimentales donnent un faisceau d’indices convergents pour établir l’existence d’un principe créateur supérieurement intelligent.

Cette seconde partie portant sur le Sacré propose qu’il devienne de plus en plus déraisonnable de ne pas croire en l’existence de ce principe. (Rien ne peut naître de rien, et rien ne peut retourner à rien)

Il ne s’agit pas de preuves, d’ailleurs il semble que l’absence de preuves soit inhérente à Sa nature.

Cependant, dans le doute, de puissantes convictions peuvent être établies :

- Il existe un principe créateur, maîtres de tous les avatars, comme du temps et de l’espace,

- Il n’a qu’un but : le règne de l’amour absolu, inconditionnel et éternel, œuvre suprême de toute la création.

C’est pourquoi la fraternité est sacrée.

Jacques Attali dans son ouvrage  »fraternités, une nouvelle utopie »:

« Aujourd’hui, nous n’en sommes qu’à la préhistoire de la fraternité, et il faut commencer par en inventer la pratique dans la modestie du quotidien et la démesure de l’idéal. »

Alors :

Si je t’aime, mon frère, ma sœur, ce n’est pas moi qui t’aime, c’est l’Etre suprême, le S.O.I., à travers moi, qui t’aime. Et si je ne t’aime pas, c’est ce M.O.I., l’ego, qui ne t’aime pas, mais il n’est pas moi.

Oui, la fraternité est sacrée, elle est mouvement évolutif, coévolution en coresponsabilité.

Image d'une géode

 

Comme dissimulé dans la géode, le joyau est au fonds du cœur de chacun d’entre nous !

Christian HYERLÉ

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Bibliographie partielle :

 » Le chiffre de la vie » Grégory BÉNICHOU

 » L’erreur de Descartes » Antonio R. DAMASIO

 » Le cerveau magicien » Roland JOUVENT

 » Du cerveau à Dieu » Mario Beauregard

 » De la génétique à Dieu » Francis S. COLLINS

 » Le moment fraternité » Régis Debray

 » Fraternités : une nouvelle utopie » Jacques Attali

 » Le Yi King » Richard WILHEM

 » Du paraître à l’Etre » Christian HYERLÉ

 

 

Prochain article le 21 mars 2013 : ‘’l’action créatrice de la parole’’

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